Nom : Maelstormi.
Prénom : Erezbeth.
Âge : 26 ans.
Sexe : Masculin.
Race : Lycan alpha.
Groupe : Neutres.
Description race inventée : Aucune.
Croyances : En la science.


Description mentale :

Commençons par l'inacceptable. Les défauts nous sont octroyés pas autrui après une déception, il se peut que ces imperfections moral virent à un côté bénéfique voir unique bien sûr le verdict et changeant selon l'humeur ou la personne. En outre, il est de ces personnes butées qui n'acceptent guère d'êtres classé dans la colonne de perdant ou vaincus. Ses idées sont fondées sur tout un concept, un concept définis bien qu'étant ample il se parque sur une idéologie fixe. Bien qu'est vaste la catégorie syntaxique de la persévérance, il se consume sans circonspection à des entraînements érigés sur un seul élan "draconien" si je peux me permettre. Vous lui direz qu'il n'est pas toujours dans les bonnes mesures de forcer sur son corps. Mais il pense dans son fort intérieur que ces poussées de limite accroissent une volonté de fer, usable en grande portion sur les défis. Bien qu'il trouve cela disons asticotant, le défier serait le référer donc douté de ses capacités se- qui a la contenance de le mettre dans des états vulgaires. Tout problème à un aboutissement positif, après tout nous disons bien que « ne peut pas qui ne veut pas » n'étant pas révérencieux quand la hiérarchie est mise a sujet, les poings sont parfois sa plume qui trace rouge sur blanc sa victoire. Il est donc épineux de lui faire cracher la défaite.

Erezbeht est de ces personnages caractérisé par l'insouciance, il n'est pas protecteur d'autrui, il a parfois la grande paresse de sauver sa propre personne. C'est quelque chose qu'il qualifie d'ennuyant, se faire assidûment repêcher par le premier venu ou bien le contraire sans cesse veiller au grain pour la sauvegarde de quelqu'un d'autre a qui les préjudices sont parfois éprouvent.

Mais toutefois, il y a toujours un point de retour. Il est très rare que quelqu'un l'énerve au point qu'il pourrait perdre le contrôle, mais il est clair que rien n'est impossible et quand il atteint l'extase total d'un sentiment aussi proche que l'amour, le seul conseil que je puisse vous donner et de courir vite et loin. Après avoir atteint le paroxysme de la haine, il ne jauge plus ses coups et ne lésine pas sur la puissance qu'ils pourraient atteindre pendant sa transformation. Sa vitesse de réflexion et d'analyse est aussi fluide que la liquidité de l'eau, il a la grande aptitude de se sortir d'embûche avec une aisance sans pareille. De la science au combat son intelligence est aussi vaste qu'un fleuve. En grand maître des armes, le combat à l'épée n'a aucun secret pour lui. Avec une grande expérience du combat, il peut prédire les mouvements de lame la plus aiguisée qui soit comme il peut tant bien que mal sortir grand vainqueur du combat. Il se fait très rarement piéger, ou si vous ne tenez pas grandement à votre vie essayez de le berner.

Il bénéficie d'une maitrise totale de lui-même, que dire d'un esprit impossible à influencer, bien sûr il reste inoffensif contre les utilisateurs de cette magie redoutable, celle des illusions. La seule chose a laquelle il n'accorde pas vraiment d'importance est la fidélité. Je parle bien sûr a titre personnel, il est vrai qu'il ne supporte pas de se faire trahir ou apprendre que l'on complote dans son dos. Après qu'il trahisse de son plein gré ne lui procure ni plaisir ni haine. Il est arrivé à un stade de son évolution ou la trahison est un acte quotidien que ce sois en mission ou dans le long périple d'un homme.

Sérieux et froid, il en reste pour autant un homme sociable, ou la compagnie de quelques personnes ne le gêne guère. Bien sûr, il ne sera jamais d'accord avec tout le monde et gagner sa confiance n'est pas partie facile. Même si son mentor est mort et qu'il n'a plus à suivre ni loi ni code de conduite, il garde cette façon de vivre. Pas d'amis pas de famille.

Capacités :
Notre est un parfait exemple d'un combattant équilibré. Mélangeant un style acrobatique, technique de corps a corps, armé ou a mains nues. Il reste redoutable de près comme de loin. Utilisant l'environnement qui l'entoure à ses fins, il préfère les coups légers et précis, aux coups brutes sans précision. Surtout que sa force, reste assez faible quand il est n'est transformé. Il ne se bat jamais avant d'avoir analysé le propre style de combat de son adversaire. Et se bat caché, usant de divers stratagèmes comme le camouflage, ou les hauteurs il ne sort que pour porter son coup fatal. Ce mélange fait de lui, un combattant redoutable au style de combat dure a cerner.

Quand le combat semble impossible, notre ami fait appel à sa nature bestiale et laisse apparaitre une bête, qui ne réfléchit pas avec sa tête. Cependant, les coups puissants de l'animal pourraient broyer l'adversaire, ou le déchiqueter à l'aide de griffe. Sous cette forme, il est possible qu'il utilise son épée étant donné qu'il lui reste la capacité d'agripper. Même s'il ne l'utilisera pas avec autant de précision qu'à son état naturel.

Équipement :
Des armes de jets, aux armes de défense en passant par les armes de pointes. Erezbeth les maitrises à un niveau convenable. Même si son talent reste pour sa hache au métal d'argent. S'il ne chasse pas les vampires, son arme sera une épée, avec comme poignet un métal dessiné en tête d'aigle. Son armure souple, dissimule une variété de lame utiliser pour se libérer des cordes pour simplement distraire l'adversaire ou le surprendre. Ses protèges poignets cachent des lames rétractiles, une simple pression suffit pour les laisser apparaitres. À cela s'ajoute un arc, fabriqué de sa propre main d'oeuvre, il est utilisé pour la chasse ou en combat si sa concentration le lui permet.

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Vous s’avez ce qui m’effraie le plus ? C’est quand je ne peux plus lutter, que je perds tout contrôle. J’adore ça !

Née dans une période froide comme la glace, mais envoutante tel un brasier de soleil. Bercé par les flacons de neige et l'amour de la famille. Erezbeth Maelstrom, fils d'Akira le vaillant, vue le monde dans la famille noble et isolée du monde, les Maelstrom. Discerné de tous, par leurs savoirs faire et connaissances, ils devinrent maîtres dans la confection d'armes. Ils furent souvent employés pour armer les troupes du roi. Bien qu'ils ne veillent guère à êtres fervent d'une religion ou croyance, il garde une conception bien spéciale du monde. Toute chose qui s'est vue insufflé la vie, est esclave d'une manière ou d'une autre, certain de leur immortalité, parfois de leur conviction, ou de leur race. Erezbeth fut dès sont plus jeunes âge, assigné a divers savoirs faire, de la science à la chasse, en passant par le combat. Tout lui fut gravé dans son coeur et âme, afin d'en sortir un chef digne de son rang.

Il passait ses journées à étudier diverses matières, cultures, ou races. Quand notre guerrier n'étudie pas, il passe son temps en ville à amasser un piètre pécule, en travaillant comme boutiquier. La situation financière de sa famille très enviable, lui permettait une vie sans avoir l'obligation de travailler, seulement être veillé au guais par autrui ne l'amuser guère. Son mode de vie ne l'empêchait point, de se lier d'amitié avec d'autres bambins de son âge, à jouer a diverses activités. Mais une fois le plaisir terminé, il se devait de redevenir l'élève, afin de pouvoir contribuer un jour à la gérance de son clan.

Bientôt a l'âge d'homme, Erezbeth devint un fin technicien dans la fabrication d'arme, de la plus souples à la plus lourde aucun malus dans sa fabrication, mais plein de secrets, surtout dans l'une de ses inventions. Une lame rétractile cachée dans un gant, une simple pression suffisait à faire sortir la lame. Bien sûr cela reste une infime partie de ses inventions diverses et variées. En plus d'en créer, il montrait une grande dextérité a l'épée, en plus d'une excellente maitrise dans les armes de jets. Au corps a corps, il était d'une souplesse magnifique mélangeant acrobatie et technique. Un sang froid ainsi qu'un esprit a toutes épreuves, il avait acquis ce calme antérieur que le plus grand des sages veut absorber. Son savoir découlé comme les fleuves dans les mers, il connaissait chaque race leurs points forts et points faibles, en passant par leur mode de vie et leur façon de communiquer.

L'enfant fait il place à l'homme ? J'en doute cher confrères, ce qui en change n'est autre que le corps et les convictions.

Une nuit glaciale sur le continent, notre homme revenu d'une chasse dort dans sa couchette. Torse nue laissant surplomber une anatomie parfaite, quelques cicatrices en guise de souvenirs. Dans son état de mort, il ne pouvait en rien s'imaginer l'ampleur du cataclysme qu'engendreras cette nuit couverte d'un voile de sang. D’innombrables silhouettes furtives traversaient les quartiers qui servaient de résidence aux Maelstrom. Soudain un cri de femme retentis haut et fort, les gardes ce précipitèrent avant de se retrouver nez a nez avec leur agresseurs. Les vampires, ces hommes et femmes maudis, condamné à vivre la nuit et à survivre le jour et ceci pour l'éternité. Notre Héros bondit de son lit, puis pris ses apparats avant de s'armer de son épée, il se mit devant sa fenêtre avant de contempler une cour envahie par les corps. L'instinct de guerrier s'éveillât, et d'un saut imposant il se retrouvait dans le champ de bataille.

Trois contre une vingtaine, tel était le sort de cette nuit. Erezbeth enchâinait les coups d'épée, n'ayant jamais combattu ses montres, il enfonçait sa lame là où les vampires sentaient des chatouillements. La fuite était une sage décision, en se retournant il vit qu'il été seul, plus aucun survivant, il sortit un petit flacon de son sac et à son contact avec le sol le flacon explosa libérant une fumée imposante. Pensait-il détourner l'intention de prédateurs ? À peine a-t-il eu le temps d'arriver à son cheval qu'il fut rattrapé, un vampire le prit par le pied avant de l'envoyer valsé sur une bâtisse de bois. Surement un miracle, à cet instant un homme surgit des flammes et de simples coups de poing il envoyait les vampires dans de longs sommeille, il prit alors par le bout du col notre guerrier pour l'emmener loin de cette fausse au lion. Laissant derrière lui sa famille a moitié morte.

Façonnez-moi dans l'ombre, faites de moi un meurtrier. Mais je vous en conjure ! Gardez en moi une partie d'humanité.

Culpabilité, remords, il avait la mort de ses proches sur la conscience. Bien sûr pour essayer de se faire pardonner il rend la faute sur l'homme qui la sauvé. Tel sont les humains, faible et naïf. Remit de cette nuit de massacre, il se mit en selle en direction du point d'attaque, a votre avis quelle idée téméraire lui passa par la tête à ce moment ? La vengeance oui, il se fit arrêter par l'homme qui lui sauvât la vie. Des yeux d'un noir charbon, des trais fins et doux, quant à sa corpulence elle était assez imposante. Un style vestimentaire au Delas de la noblesse. Mais ce qui accentuait l'impassibilité de cet homme, n'est autre que son aura bestiale et un regard meurtrier, son sang était chaud presque bouillant. D'un geste agressif, il poussa Erezbeth le forçant à heurter un arbre de pleins fouets. D'où lui venait cette puissance, qui lui permettait de projeter un homme de quatre-vingts Kilos aussi facilement qu'une lance.

- Où comptez-vous aller, noble homme ?-

-En rien cela ne vous regarde, mes proches m'attendent-

-Ils sont tous mort, par votre faute trop faible vous êtes. Vous avez peu êtres un grand cerveau, mais vous n'avez rien pu faire-

-Assez ! Ce n'était en rien des humains, seul contre vingt-

-Je peux vous apprendre, voulez-vous les tuer ? Cependant, prenez gare a vos paroles qui sortirons à l'instant qui suivra le point de ma phrase. Vous n'aurez ni famille ni amis, vous ne tuerez que l'lorsque je vous le dirais. Je ne vous apprendrais pas à tuer pour que l'on retrouve un beau jour un enfant ayant perdus sa mère et son père. Je vous donnerais des noms et vous devrez vous en contenter. Promettez-vous obéissance ?-

Erezbeth lui dit ce qu'il voulait entendre, mais il ne songeait qu'à une seule chose, tuer les monstres qui avaient décimé son clan. Et c'est ainsi qu'il entreprenait son apprentissage, améliorant sa condition physique ainsi que sa résistance, s'imprégnant du noir comme allié en s'alliant aux ténèbres. Utilisant non pas une épée, mais une hache trempée dans de l'argent. Puis dans les semaines qui suivirent, le dénommé Henry qui lui servait de mentor, s'employât à lui révéler toute une vie de secret nécessaire, pour chasser les vampires. Leur capacité à s'adapter à la lumière du soleil, le pouvoir qui les rend plus rapide. Mais plus que tout il lui enseignât comment les anéantir, en se basant non pas sur la haine comme force, mais la vérité. Ainsi que la volonté d'agir, l'entrainement n'est rien si la volonté ne réside pas dans l'homme.

Savez-vous ce qui arrive à un homme qui cherche du sang ? Et bien il en trouve.

Tout était en Erezbeth pour en faire un redoutable guerrier, a son savoir s'ajoutât l'entrainement de ce Henry. Qui plus est, il lui fut appris un mode de vie modeste, lui convenant à vivre d'un bref revenue. Notre mercenaire s'est vue infiltrer dans une petite campagne, aujourd'hui aller êtres accomplis son premier contrat, en espérant tomber sur les personnes qu'il voulait voir anéantis. À l'aide d'une monture, il traversa diverses contés à l'aisance sans pareil. Habillé d'un ensemble cachant des armes de sa main d'œuvre. Notre assassin ne passait pas la plus grande partie de son temps à pousser sur ses limites physiques. En plus de sa hache dédiée à tuer ces monstres, il a élaboré bien des objets utiles pour sa quête qui se définit de sans fin. Arrivé à destination, il loua une modeste chambrette en guise d'un fin pécule et attendit la nuit noire.

L'heure venue, il était temps pour notre homme de mettre à grand jour ses capacités. D'une course fuselée, il traversait les toitures à l'aide d'acrobaties plus étonnantes les une que les autres. Au-dessus du toit qui lui servait de poste d'observation, il vit le bâtiment qui servait de logis à trois vampires. D'un bond, il entra en fracassant la toiture, alertés les vampires sortirent leurs griffes et leurs dents plus acéré que jamais et ce jetèrent sur Erezbeth. Sortant sa hache et de mouvements fluides il arrachât la tête de l'un de ses monstres. À chaque coup porté par notre chasseur, du sang maudit giclé des corps impurs de ses damnés. Il les décapita à l'aide de sa hache baignée d'argent, avant de mettre le feu a l'établit. Il était maintenant sur d'en être capable, d'être capable de les anéantir jusqu'au dernier.

Il se peut que quelque chose ressorte des ténèbres, quelque chose de plus noir que la noirceur elle-même.

Accoutumé à tuer, Erezbeth est maintenant la cible de quelques vampires voulant venger leur frère. Mais les vampires étaient les cibles d'une machine à tuer, « L'humain tueur de mort » Tel était le nom donné au dernier des Maelstrom, peu à peu sa réputation se faisait, a un tel point que vagabond et roi l'engageais afin de tuer. Il s'était trouvé sa profession, mercenaire, il était maintenant capable de ressentir, d'entendre au Delas des limites et de s'imprégner de l'atmosphère pour ne faire qu'un avec l’environnement. Il cherchait à atteindre ce point de non retour, ce point qui lui permettrait de lire le coeur des gens. Il suivait la règle, pas d'ami ni de famille, sans pour autant ne pas lier ses nuits avec des créatures envoutantes. Mais il allait connaitre cette nuit qui le changera, cette nuit qui laissera les générations suivantes se rappelant de lui non pas d'un homme mais d'un monstre.

Dans une maison en bois éloignée de tous, notre ingénieur mettait au point une nouvelle arme, il était seul depuis un moment, Henry était absent pour un contrat. Sous une bougie à dessiner des croquis et plans, il sentit une présence qui en rien n'apportait bon signe, il prit sa hache et sortit à l'extérieur. D'un oeil aiguisé il sculpta les environs, il baissa sa garde quand soudain il sentit une personne l'agripper de derrière. À l'aide d'un réflexe de défense, il saisit son interlocuteur de la main avant de projeter en avant, son étonnement fut quand il vit Henry nue et a bout de forces, « Ils arrivent.. » Dit-il d'une voix absente. Henry était de loin l'homme le plus puissant qu'Erezbeth avait vu à ce jour. Impossible que ce soit des vampires de bas rangs qui l'on mit dans cet état, surement des sangsues de classe moyenne et il devait êtres un bon nombre.

Erezbeth porta Henry devant la porte et au moment où il allait le mettre en sécurité à l'intérieur, il sentit une proche présence il était trop tard.
D'une acrobatie, il se mit devant les six monstres et il débuta la bataille. Utilisant son environnement, il arrivait à rivaliser avec ses monstres sans pour autant avoir un quel qu'onques avantage. Il prit un coup de poing qui le fit embrasser la maison, démolissant une façade de celle-ci, il esquiva un coup avant d'écorcher un vampire et lui arracher la tête. Plus que cinq, il s'élança vers le plus près avant de sentir une humidité sur son buste, le vampire l'avait touché sous la chaleur du combat notre guerrier n'avait rien sentit. À terre Erezbeth se vidait de son sang, soudain il ne put ne pas ressentir une pression sur sa gorge. Quand il tournât son visage il vit Henry, plantant ses crocs dans sa nuque.

Il sentit un courant froid, une légère fièvre, des douleurs sur tout son squelette, mais surtout une puissance phénoménale. Trois mètres de puissance et dans un rugissement perçant, la bête s'élança. Les coups des vampires ne faisaient qu'enrager de plus en plus la bête qui semblait ne plus avoir d'esprit. Coup de griffes et utilisant une gueule aux crocs acérés, d'un pelage noir charbon et des pupilles d'un jaune luisant. Erezbeth sauta sur un vampire, pour lui arracher la tête a coup de griffe, la puissance de la première transformation est sans égale, le carnage était des plus dégoutant. Destruction était le nom approprié à cette bête, déchiquetant les vampires jusqu'au dernier. L'homme est devenu un lycan, un lycan alpha qui avait pour seul hobbies tué encore et encore.

La rage en moi s'est libérée, pour me laisser devenir quelques bêtes grossières.

Aujourd'hui, Erezbeth essaye de vivre en maintenant l'équilibre entre l'homme et l'animal. Un pari bien risqué, car il pourrait se consumer dans sa propre rage, plus d'habita plus d'amis. Vagabonder de terre en terre était sa seule solution, plus de loi ni de promesse s'il devait trouver un vampire il le tuerait sans subconscience. Dans ce monde néfaste, sa nature ne le laisserait jamais en paix, il Vivera en faisant ce qu'il a été destiné a accomplir et ce qu'il fait le mieux. Chasser les damnés.

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