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Les Meênoriens
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Maître des Sceaux
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FONDATEUR
Maître des Sceaux

Perso
Description: Le Maître des Sceaux, aussi appellé « L'omniprésent », est une entité qui ne fait pas partie du cycle de la vie et du temps. Il est hors de l'univers et tout ce qui l'entoure. Ce personnage anthentique et mythique observe le monde dans l'ombre et le regarde évoluer depuis maintenant des millénaires. Les anciens écrits font référence à lui comme étant « la mort » qui apparaîtra seulement aux êtres rendant leur dernier souffle.
Localisation : Néant.
Messages : 133
Date d'inscription : 30/09/2012



Sam 2 Fév - 14:42
۩ LES MEÊNORIENS
FILS DE MEÊNELOR

Cité des Colosses


Ψ INTRODUCTION

Depuis bien longtemps, un doute plane sur mon esprit. Après maintes recherches infructueuses, je crois enfin avoir trouvé la preuve de ce que j'avance. Ce que j'ai découvert est peut être la pierre manquante à notre compréhension de ce premier âge furieusement mystérieux. Il existe une citée, par de là les monts et les rivages, loin à l'orient, il existe des ruines. Majestueuses et encore puissantes malgré le temps, elle est mon dernière espoir de prouver ce que j'avance. Bien longtemps, je fus risée de mes paires et traité d'excentrique malade et complexé. C'est vexant, je ne vous le cache pas, mais ma détermination ne fut que renforcer. Mes frères ont toujours été trop orgueilleux et imbu d'eux-même, je le sais, et bien que j'aimerais ne pas en tenir rigueur, je reste gonflé de fierté devant ma découverte qui mettra un point final à ma disgrâce. Je me nomme Elden Terelïth, même si j'ai perdu ce nom il y a bien longtemps, souvenez vous de moi car ma découverte est l’œuvre d'une vie !


Ψ THÉORIE

Nous savons depuis bien longtemps que les Eldars étaient les premiers elfes, que les nains n'ont aucun descendant, tout comme les hommes. Pourtant, il exista des géants, ça aussi nous en avons eu la preuve. Comment les racines des espèces naines et humaines sont-elles si semblable de carrures à celle des géants. J'entends par rapport à la structure du corps, et non en taille. Alors que des Eldars naquirent les elfes, les nymphes et bien d'autres races dont-il ne reste plus traces aujourd'hui. C'est par cette logique, que j'ai cru bon d'imaginer un descendant commun à ces espèces. Ce n'était qu'une idée, mais plus je croisais des textes, plus je m'enfonçais loin dans cette idée, plus je me rendis compte de sa probabilité. Pourquoi les hommes et les nains s'étaient-il détournés d'Irmo le sage et de Dâmo le déchu ? Pourquoi avaient-il cessé de croire pour se tourner vers des divinités aux faces étrangement semblable et pourtant si gigantesque ? Un orgueil démesuré ? Une envie de ressemblance ? Ou bien une pâle copie d'Albor, le brave ?

De plus, ces divinités, en plus d'être humaine avait tous un point commun. Celui d'être gigantesque à la façon des géants dans leurs représentations divines, mais de pouvoirs sans que l'on ne sache comment, si ce n'est qu'ils sont des dieux, se mêlaient, le plus discrètement du monde, aux mortels.

« Et ainsi Argold, dieu de la construction, fatiguait de voir les nains s'écharnaient les mains sur le dur roc de la montagne, se mêla à eux sous la forme d'un ingénieur pour leur montrer la façon de battre de le fer. La pioche et la pelle étaient née et la ferronnerie avec elles. »


« L'homme était doué de ces mains et de son imagination, mais chacune de ses constructions menacées la sécurité de ses habitants, le bon Argold, descendit donc des cieux pour se présenter sous les traits d'un habile vieillard. Ce dernier demanda audience au Roi, et de sa bouche, il apprit les bases des mathématiques, qu'on nomma plus tard géométrie. »


Ceci ne sont que des contes, des légendes et une transmission d'un culte inexistant. Cependant, de chaque histoire découle un terreau de vérité. De la leçon, une action s'est écoulée. Ils furent oubliés, abandonnés et méprisés de tous, mais pas de moi. Je sais qu'ils ont existé. Je les nomme Colosses. Et de ce que j'en sais, ils sont la base de l'humanité, des nains et peut être même des géants, ou tout du moins, des frères déviants.



Ψ APPLICATION


Ma théorie, je l'avais déjà avancé. Et c'est elle, qui malgré ma conviction, me fit perdre mon nom de maison. Cependant mon prénom signifie têtu, et je ne serais vous dire à quel point il est vrai. Attention, contrairement à ce qu'on pu interpréter certains de mes confrères, je ne dis pas que les Colosses étaient les divinités de ces humains, simplement une sorte d'inspiration. Mais ce que j'en sais, c'est qu'ils sont puissants et très coriaces. Ils avaient la capacité de grandir à volonté, j'entends par là que de leurs tailles d'origines qui étaient vraisemblablement celle d'un homme au vu de leur cité, ils pouvaient atteindre la taille des plus grands géants. Ils étaient déjà doués dans les mathématiques, la métallurgie, la sculpture et certaines formes d'enchantements jamais atteins pour une espèce de cet âge-là. Ils étaient forts, féroces et basés sur une culture guerrière. Leurs amures de bronze reflétant les rayons solaires faisaient d'eux des divinités pour des espèces moins développé et je les soupçonne de n'avoir jamais été très sensible à la magie d'autrui. Ils ont créé une culture et des liens étroits avec les dragons et les géants avant que pour une raison aucune ces derniers ne se détournent d'eux. Ils étaient les premiers hommes, immortels et incroyablement résistant, descendance des premiers combats d'Irmo et de dâmo.

Ils ont conquis des régions et des royaumes, continuellement à la recherche d'adversaire de valeurs, ils ne voyaient la vie que par la guerre. Les armées de Menêelors ont très certaines décimés des races entières sous ses désirs de victoires. Elles se sont mêlés à d'autre lors de campagnes et de là découle les nains et les hommes, peut être même les géants. C'est eux qui repoussèrent en grande partie les Eldars sur nos rivages d'Enelis, car développé comme ils étaient et malgré un pacifisme certain, il n'y avait nulle raison pour qu'ils laissent autant de territoires aux hommes. Agressif, ils ont conquis le monde sans se soucier de le gérer une fois vaincu, retournant vers leur Menêelor phare de leur civilisation. C'est dans ces temps-là, qu'ils rencontrèrent les dragons, premiers adversaires de valeurs. Des écrits que j'ai pu déchiffrer sur les murs de la cité, ils eurent des centaines de batailles avant que de part et d'autres des camps, ils ne trouvent une trêve. Car cette fière race avait une philosophie absolument déconcertante sur la guerre et ses applications, que je vais tenter de restituer le plus fidèlement possible.


Traduction d'une tablette de bronze, datée au premier âge.


« Nous sommes un, nous sommes forts, nous sommes fiers.
Fiers Meênoriens, pendant longtemps nous avons méprisé toutes races de ce monde. Pendant trop longtemps jamais nous n'avons trouvé d'adversaires de valeurs. Puissants Meênoriens, vous les avez vous ces faiblards prier et s'agenouiller devant nous comme des insectes répugnants. Vous les avez vu nous prendre pour les Titans que nous étions !
Toutefois, méritants Meênoriens, jamais nous n'avions rencontrer de races capable de nous tenir comme l'ont fait ces cracheurs de feu ailés. Dignes Meênoriens, sachez qu'aujourd'hui, enfin, je les déclare apte à être respecté et nos égaux. Patriotes Meênoriens, à jamais ils seront nos alliés car nous sommes un, et que nous n'avons qu'une seule parole ! »


Ψ RESULTANTE

Par ce fragment de tablettes, j'ai choisi de les nommés Meênoriens. Bien sur, la réelle traduction est plus complexe et elle me demandera encore des années d'acharnement pour vaincre mes derniers lacunes mais vu que je suis le seul à travailler sur le sujet, il me sera difficile de trouver un autre expert pour comparer mon travail. Toutefois, même si l'écriture est une chose complexe, l'art est souvent bien plus facile à interpréter et de ce que j'ai pu découvrir, il faut rendre grâce aux dragons de nous avoir débarrassé de ces fléaux car ils étaient très certainement la race la plus puissante ayant jamais foulé les Terres du Naldor avec les écailleux. Vous croyiez que les vampires ou les démons étaient un problème ? Laissez moi vous décrire les nombreuses particularités de cette race.

Tout d'abord, ils avaient une science de la guerre extrêmement avancée pour l'époque. Elle était tel que certains de mes découvertes ont déjà été vendu à des militaires pour continuer de financer mes études. Je suis maintenant harcelé par la famille Du Marteau pour proposer de nouveaux essaies guerriers. Ensuite, ils maîtrisaient tout comme nos ancêtres les Eldars l'enchantement et la magie de la création. Il y avait d'ailleurs deux castes distinctes chez les meênoriens : les Arcanistes et les Guerriers. Les Arcanistes étaient les pensants, ceux qui forgent, construisent, imaginent et obéissent. Tandis que les Guerriers maniaient, agissaient, commandaient et conquéraient. L'un était doué de magie et des ses applications, l'autre pourvu d'une force brute. De la même manière que des fourmis, cela se déterminait à la naissance d'un individu.

  • Caractéristiques guerrières

    Un guerrier meênoriens étaient un monstre de puissance. Capable de porter des charges jusqu'à 30 fois plus importante que son poids, il pouvait grandir jusqu'à atteindre 3 mètres de haut. Ils avaient une durée de vie phénoménale, plus grande que des nains ou des hommes, de l'ordre du millénaire (et ne vieillissent plus entre 50 et 800 ans). Un système immunitaire capable de les protéger contre les maladies les plus puissantes ainsi que les sortilèges. Seul l'acier et les éléments naturels (comme le feu) pouvaient les vaincre. D'après leurs propres savants, ces guerriers possédaient leurs propres magies, c'est elle qui leurs permettaient de grandir ou d'être si fort. Et elle se consommait par un cri rauque. Ils la nommèrent "cri guerrier". Ils étaient des carnassiers exceptionnels incapable de manger un seul légume ou fruit. Le sang les excitaient et la guerre les amusent. Ils étaient tous de grands alcooliques ivres de fêtes. En revanche, ils étaient aussi de grands stratèges et loin d'être imbécile. Simplement, l’instinct de chasseur était très présent. De plus, certains mourraient d'épuisement avant même de s'en rendre compte car ils consomment énormément d'énergies lorsqu'ils grandissent. C'est pourquoi il était très rare de les voir bien grand, de toute façon, ils n'en avaient pas vraiment besoin pour conquérir les peuples du premier et deuxième âge.

    Ils apprenaient très jeune à se servir de plusieurs armes et tout guerriers adultes recevaient une lame, un bouclier et une lance enchantées destinés à eux seul pour la guerre. Ces armes pouvaient grandir avec eux et aucun autres individus ne pouvaient les porter.

  • Caractéristiques arcanistes

    A l'inverse, les arcanistes étaient incapable de grandir, de produire une force sur-humaine et n'étaient pas touché par l'excitation de la guerre. En réalité, une loi garantissait leur égalité face aux guerriers pour éviter toutes ségrégations, au vu des nombreuses différentes intra-sectaires. Car ces derniers étaient hyper sensible à la magie, ils pouvaient la contrôler mais aussi la subir, ils avaient une soif de la connaissance et de l'art plutôt surprenante. Exclusivement végétariens, ils se différenciaient aussi par une absence de muscles naturelle et un manque de poils absolu pour les hommes, les femmes quant à elle, avaient au moins des cheveux, mais ils ne poussaient jamais très loin. De plus, une arcaniste contrairement à une guerrière peut porter un enfant qui se distinguera par sa caste à la naissance. Ils ne vivent aussi longtemps que leurs congénères, mais avec un période juvénile plus courte (vieillissent 10 fois plus lentement qu'un humain). En revanche, c'est eux qui prodiguèrent l'écriture, l'art, l'architecture, la technologie et les enchantements. Un arcaniste entrait dans une école à l'enfance pour devenir adulte qu'après avoir obtenu quatre maîtrises au minimum. Les plus courantes étant : écriture, un domaine d'art, magie de la création et le mantra. Ils pouvaient après choisir de poursuivre pour se spécialiser dans un domaine : armurerie, médecine, art, écriture, maître, architecte, etc...

    Le mantra est un art que tout arcaniste doit connaître, il entraîne le corps et permet d'arriver à une maîtrise du soi très estimé dans la société Meneêlorienne. De plus, c'est un instrument de défenses contre la caste guerrière qui a interdiction de grandir dans le sein de Meneêlor sous peine de mort. Un maître du mantra sera toujours plus puissant au corps à corps (avec pour seul arme les poings) qu'un autre même doté d'une résistance et d'une force dix fois supérieur.



Je ne vous cacherais pas que je fus moi-même choqué de découvrir tant de points forts chez une race pour si peu de points faibles. Elle était presque trop parfaite. Et en conclusion, c'est avant tout, cette partie de ma thèse qui me valut toutes les insultes et noms d'oiseaux qu'on m'associe aujourd'hui sans vergogne. La peur est la plus tranchante des armes, proverbe Meênoriens.

Ψ Preuves

Contrairement à ce qu'on dit mes confrères, contrairement à l'avis général et aux instruments qui furent utilisés pour me faire taire ! J'ai les preuves de ce que j'avance. Elle se nomme en un mot : Meneêlor. C'était leur cité-nation. Et malgré les ruines, elles existent encore belle et bien. Par de là les océans et les terres, loin à l'orient, il existe une chaîne de montagnes, nommé montagne noir. Derrière ses rocs, commencent le fleuve éternel et ses plaines dorées. C'est là, que j'y est découvert le but de mon existence. La cité des premiers géants, la cité d'argent. C'est de son contenu que toute ma thèse découle. Et j'invite touts érudits en quête de vérité à faire le voyage. Le chemin fut ardu et la destination difficile d'accès mais la récompense étaient à la hauteur de mes espérances et de la votre si vous prenez le temps d'un voyage. Des pillards ont malheureusement eut raison de mon plan. Mais mes indications sont exactes, je suis maintenant trop vieux pour retourner sur mes pas, mais c'est sur une quête que je vous lance aujourd'hui. Et toute quête mérite labeur. Et c'est sur la traduction d'une dernière tablette que je parachève mon œuvre.

Traduction d'une tablette de bronze, datée au début du deuxième âge.
Jamais nous ne reculons, jamais nous ne cédons.

Pourtant c'est avec chagrin que j'annonce la perte de la Cité Altaâr. Tous les Altaâriens se sont battus avec vaillance, et les os de nos ennemis morcellent les ruines de la deuxième des cités Meênoriennes. Mais le feu fut trop puissant et nos arcanistes incapables.

Chers Meênoriens, sachez qu'aujourd'hui nous sommes en guerre. Sachez braves Meênoriens que les Dragons ont rompus et que notre fureur doit se déverser sur eux. Génies Arcanistes forgez nos armes, battez le tambour et maudissez nos ennemis. Un Mémorial fut mise en place sur notre ancienne colonie. Elle interdit à toute chose de pousser tant qu'un Meênorien n'y reconstruira une chaume.

Quant aux perfides dragons, Meênoriens, nous fondrons sur eux par cent et cent. Nous exterminerons ces volatiles traîtres à leur parole. Nous serons fort, nous survivrons à notre époque !


Une guerre d'un millénaire en découla. Mais les vainqueurs, vous les connaissez déjà, eux n'ont pas encore quitté notre mémoire. A bonne entendeur, et dans l'espoir d'être enfin compris et reconnu pour ce que je fus, après postérité. Moi Elden Terelïth, je laisse au soin de mes héritiers de poursuivre mon oeuvre !

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