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Une visiteuse venue d'ailleurs Oo [PV: Viladra/ FLASH-BACK]
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Kan Ko'Dan
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DEBUTANT
Kan Ko'Dan

Perso
Description: Dernier Dworn connu sur ce monde, Kan est le descendant des anciens chefs des Dworns. Grand ours au pelage blanc se tenant sur ces pattes postérieures, il mesure environ quatre mètre de haut. Il est semblerait t-il le dernier survivant de son peuple et erre depuis longtemps dans les plaines gelées du nord a la recherche d'indice sur son peuple.
Messages : 4
Date d'inscription : 25/12/2012



Ven 28 Déc - 12:10
Premier pas, première rencontre.



Les terres froides du nord, constamment gelées et balayées par des vents froids et violent, il n'était pas rare d'être victime d'une tempête de neige sur ces terres. Royaumes des hommes, aux coutumes violentes et sauvages. C'est dans ces terres que Kan fit ses premiers pas en tant que voyageur, il était descendu des montagnes après avoir laisser ses anciens compagnons Dworns, se faisant vieillissant et proche de la mort ses dernier lui avait dis de les laisser et de partir a la recherche d'autre Dworns. Les premiers pas de Kan sur le sol gelé de ces terres fut plutôt hésitant. Il ne savait si il devait avancer ou reculer, il ne savait si c'était une bonne chose que de s'aventurer sur la terre des hommes. Il pourrait être vue et pris pour un prédateur, ou chasser par des mercenaires sans conscience. Il devait retrouver d'autre Dworns, mais il ne pouvait risque sa vie. Il était le dernier des Ko'Dans et ne pouvait tomber. Un choix difficile que de choisir ou aller. Il pris la direction du Nord Ouest, son pas lourd faisait décoller des petites bourrasques de neiges a chaque fois qu'il posait sa patte sur le sol recouvert d'une couche d'environ six centimètres de neige, rien de bien gênant pour l'ours géant, qui ne sentait pas la différence. Le temps était plutôt calme pour une fois, pas de vent ni de neige. Juste le froid ambiant, qui ne dérangeait pas le Dworn, accoutumer aux climat extrême de la montagne pour lui ce froid était plutôt doux. Il marchait lentement, tranquillement, humant les odeurs pour s'assurer qu'il n'y avait nul autre espèce vivantes tel les hommes dans les parages. S'assurant qu'il n'y avait aucun danger avant d'aller plus avant. Il marchait depuis déjà quelques heures lorsque son ventre lui rappelât qu'il avait faim. L'heure de chasser était arriver, Kan sortit son arc et préparât une flèche, même si il était grand et imposant, il n'avait aucun mal a trouver du gibier et a le tuer. Il repérât alors la piste d'un daim et la suivit, regardant les traces dans la neige et reniflant l'air pour repérer ou il était. Un léger vent commençât a souffler prémisse d'une tempête de neige arrivant, envoyant les odeurs de Kan dans le sens opposé a la piste qu'il suivait, cela était parfait, il ne serait pas repérer par sa proie. Il continuât pendant quelque minutes a suivre la piste et repérât l'odeur du daim. Bien que le vent lui ramener son odeur Kan sentait qu'il était tout proche. Il continua d'avancer, plus lentement et prudemment qu'auparavant, il ne fallait pas le faire fuir. La tempête approchant les animaux se terrait dans leurs terriers attendant qu'elle soit passer avant de ressortir, ce serait dur de retrouver du gibier. Il approchât et le vit, au détour d'un buisson dont les feuilles était blanches de neiges et gelées. Il bandât son arc et visa le cou de sa proie, la flèche sifflât et transperçât l'animal, qui mourut sans trop de souffrance. Kan rangeât son arc dans son dos tandis qu'il avançait ver la dépouille du daim. Il s’agenouillât à côté et sortit son couteau a dépecer. Il murmurât quelques paroles de remerciement a la nature pour lui avoir permis de tuer cet animal dans sa langue, c'était un des rites du Monö. Pour les Dworns, ont ne remerciait pas la nature en se montrant ingrat avec elle, c'était mal agir. Il fallait la remercier avant de dépecer l'animal, et laissait un bout de viande sur le sol, ou le jeter dans l'eau si c'était un poisson, afin de laisser une offrande a la nature, et de permettre a l'animal en question de pouvoir se réincarner par la suite. Tel était les croyances des Dworns. Kan, lorsqu'il eut finit de dépecer l'animal récupérât ce qui était essentiel, cuir, viande et quelque os qui pourrait lui servir par le futur. Il posât son sac de voyage sur le sol et sortit des cailloux qu'il disposât en rond sur le sol. Puis il déracinât le buisson qui était a côté de lui, il allait faire un feu pour cuisiner l'animal, même si il fallait du bois sec pour allumer un feu devrait se débrouiller avec ce buisson gelé, il le secouât pour faire tomber la neige, et le cassât pour en faire des brindilles. Puis il commençât a taper ses deux silex l'un contre l'autre pour réussir a allumer le feu. Il frappait les silex depuis une demi heure, c'était devenu mécanique, il le faisait alors qu'il pensait a autre chose, soudain une étincelle, puis deux et ainsi de suite, et le feu pris enfin. Kan s'affaire alors a préparer sa casserole, il allait faire bouillir de l'eau et faire mijote la viande du daim avec quelques herbes aromatiques qu'il avait sur lui. Il remplit la casserole de neige, en effet il n'avait pas d'eau, il allait faire fondre la neige pour en faire de l'eau. Pendant que la neige fondait dans la marmite, il choisit les meilleurs morceaux de viande, et rangeât soigneusement les autres dans son sac. Après avoir pris soin de les envelopper dans du cuir, qu'il avait emmener du campement des Dworns, il l'avait fait imbiber dans de l'eau salée, afin qu'il permette de conservé les aliments. Puis sentant que la tempête de neige se levait, il décida de faire une tante autour du feu, afin de le protéger. Il récupérât les os qu'il restait du Daim et les lia entre eux avec des lanières de cuir qu'il découpa dans le cuir de sa dernière proie. Puis il tendit le tout pour une faire une tante, elle était quelque peu trop basse pour lui, mais c'était mieux que d'affronter la tempête. Il mis ensuite les morceaux de viande dans la marmite d'eau qui bouillait depuis déjà un bon moment, et y ajoutât quelques herbes aromatiques afin d'y donner du goût. Même si les Dworns étaient capable de manger la viande cru, ils étaient de fin gourmet et ne refusait jamais de manger un plat raffiné et cuit plutôt que de la chair brute. Lorsqu'il déposât les morceaux de viande dans la marmite il murmurât de nouveau des mots de remerciement à la nature, qui lui avait permis de faire ce feu et de bâtir cette tante de fortune pour pouvoir affronter la tempête de neige et avoir chaud. Il s'assit ensuite sur son postérieur et regardât le feu pensif. Il restât ainsi quelques minutes, attendant que son repas soit prêt, lorsqu'il sentit une odeur qu'il n'avait jamais sentie, elle approchait. Il sortit de la tante et humât attentivement l'air, filtrant les odeurs pour ne sentir que celle qu'il désirait identifié, elle ne ressemblait pas tout a fait a celle des hommes, il sentait comme une sorte de désolation, quelques choses de mauvais. C'était un être vivant, mais il ne savait dire quoi, proche de l'humain sans tout a fait en être un. Il s’éloignât de la tante et vit une silhouette, svelte, de long cheveux, il l'identifia comme appartenant au sexe féminin, mais ce n'était pas une femelle humaine comme celle qu'il connaissait, il y avait quelque chose d'autre dans son odeur, quelque chose qu'il ne savait expliquer. Des flocons de neiges tombèrent sur son museau tandis qu'il regardait la silhouette s’approcher pas à pas. Il décidât de faire fi de son instinct de survie qui lui disait de s'éloigner d'elle, la tempête se levait, et elle serait sûrement pris dedans, alors Kan n'aurait pas donner cher de sa peau. Même si il était méfiant, Kan était quelqu'un de bon. Il décida de rentré dans la tante et d'attendre que l'étrangère arrive...

Signature

Viladra Memphis
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CONQUÉRANT
Viladra Memphis

Perso
Description: – Aussi, vois ce souris fin et voluptueux Où la Fatuité promène son extase ; Ce long regard sournois, langoureux et moqueur ; Ce visage mignard, tout encadré de gaze, Dont chaque trait nous dit avec un air vainqueur :
Localisation : Dans l'ombre de la lune.
Messages : 286
Date d'inscription : 18/12/2012



Dim 30 Déc - 0:43




réminiscence...



"Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres,
Qui, le long des grands murs de l'hospice blafard,
Comme des exilés, s'en vont d'un pied traînard,
Cherchant le soleil rare et remuant les lèvres?
Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres?"


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J’avais enfin atteint mon objectif… Nocturne de haute noblesse, aussi respectée que crainte, j’avais désormais une parcelle de pouvoir importante entre mes mains grâce à mon statut de fomoire. J’avais mis plus d’un siècle et demi à l’atteindre mais chez les vampires, ça représente si peu de temps… Désormais dirigeante de l’ombre dans l’ordre de Serkheim, je bénéficiais d’une liberté optimale que m’offrait l’autorité et je n’avais plus besoin de faire mes petites magouilles pour gravir les échelons… Non, j’avais écrasé bien assez des miens pour m’asseoir sur leur existence insipide, à quoi bon continuer ? Ces petits jeux devenaient lassants… Et si mon nouveau titre m’offrait des avantages indéniables, il n’était désormais plus question pour moi de continuer à me distraire à coups de duels et d’exécutions… Ca serait extrêmement mauvais pour l’image de la politicienne que je suis aujourd’hui, après tout.
Quand je fus au sommet de mon objectif, que la richesse s’emmagasinait dans les caves de mon manoir et que bon nombre de servants et de vicaires se pressaient autour de moi comme des rapaces en quête de miettes de reconnaissance, je compris aussi qu’il était désormais temps de passer à autre chose… J’avais atteint mon but, il me fallait maintenant en avoir un autre, faute de quoi l’éternité me paraitrait bien longue…

Les semaines passèrent sans qu’une idée ne m’effleure. Mon exaspération montant en même temps que l’ennuie, j’avais délégué toutes les tâches administratives aux vicaires qui s’occupaient de mon large réseau trésorier et j’avais demandé à mes conseillers les plus proches de se charger du reste. Mon délaissement de mes fonctions inquiétant certains des nocturnes qui étaient un peu plus proche de moi que les autres, ce fut Faros qui trouva le courage de venir me demander si j’avais besoin d’aide. Il savait qu’il était l’un des rares à pouvoir se permettre de me poser des questions pareilles… Certains l’avaient regretté pour moins que ça. J’étais tellement attachée à mon indépendance, sans doute due au fait que les femmes devaient se tailler une place dans le monde avec plus de difficultés que les hommes, j’avais horreur que l’on me propose du soutien…
Quand il comprit la nature de ma baisse de moral, ce qui n’était jamais bon, il ne tarda pas à chercher de nouvelles occupations susceptibles de me plaire. Après tout, n’est-ce pas lui qui découvrit l’existence de Ahiyyad, vicaire désormais à mon service… ? Oui, il avait toujours été très fort pour dénicher de nouveaux jeux. Peut-être était-ce pour cela que j’aimais le garder pas trop loin de moi, il était plus utile qu’il ne le laissait deviner au premier abord…
Et voilà qu’un mois plus tard il m’apprit l’existence de plusieurs peuplades de nocturnes sauvages dans les terres du nord… Ce n’était pas grand-chose et en général c’était des soldats que l’on envoyait pour ce genre de missions mais à ce moment-là, j’avais eu envie de me dégourdir les jambes. Lançant les préparatifs, je pris dix hommes avec moi pour cette expédition ainsi que deux humains qui s’engagèrent volontairement pour me servir de… Et bien, d’apéritif.

Cet épisode date d’une vingtaine d’années et je m’en rappelle pourtant aussi bien que si je l’avais vécu hier. Il fallait dire que je n’avais pas fait une rencontre banale…

Nous partîmes rapidement, un artéfact me protégeant de la lumière du soleil bien que nous voyagions dans la soirée et de nuit uniquement. Il fallait dire qu’avec toute la magie des talismans réunis, il était tout de même douloureux de nous exposer à l’astre solaire et je n’avais guère envie de me retrouver avec des brulures plein les épaules…
Il nous fallut de longues journées de voyage pour traverser la portion de territoire nous séparant des monts immaculés. Il ne fut pas difficile, une fois sur place, de retrouver les traces correspondant à nos cibles. Ils étaient montés dans les hauteurs, laissant derrière eux les vestiges de leurs repas macabres… De vraies bêtes sauvages. Ils avaient de la chance que je sois obligée de leur proposer de rejoindre les rangs de Serkheim avant de les tuer… Les plus intelligents d’entre eux auraient la vie sauve… Jusqu’à ce qu’ils servent de chair à canon, évidemment.
La suite du voyage fut beaucoup moins aisée et les chevaux peinèrent à avancer dans la neige qui se faisait de plus en plus dense. Délaissant la piste qui disparaissait sous une couche de glace, nous continuâmes uniquement grâce aux dernières traces encore visibles avant d’abandonner pour la soirée. Une tempête se préparait et il était temps d’établir le campement…
Lançant mes ordres, les nocturnes agirent immédiatement avec rapidité et efficacité tandis que j’effectuai quelques pas après avoir confié ma sombre monture à l’un des servants.

Devons-nous utiliser nos vivres, Dame Memphis ?

Me tournant vers le vicaire qui s’était approché de moi, je le fixai quelques secondes avant de tourner mon regard devant moi, observant la paroi rocheuse qui nous protégeait partiellement des fortes bourrasques. Là, D’un geste vif, mon bras se tendit brusquement, un éclair argenté s’en détachant, filant droit vers la roche. Avec un bruit sourd, on l’entendit s’enfoncer dans sa cible tandis qu’un croissement aigu résonna brièvement. Lentement, un rapace bascula de son perchoir, tombant six mètres plus bas, ses ailes ouvertes dans la neige, ma lame de jet fichée dans son cou.
Me tournant à nouveau vers mon interlocuteur qui s’empressa d’incliner la tête en signe de compréhension, j’esquissai un mince sourire et tournai les talons avant de me diriger vers l’un des humains qui nous avaient accompagnés. Nous pouvions parfaitement nous nourrir de sang d’animaux, mais il n’avait pas la même saveur que celui des hommes et en tant que fomoire, j’avais quelques privilèges…
Glissant ma main derrière la nuque de l’un d’eux, il inclina docilement la tête et je plongeai alors mes dents effilées dans la peau tendre de son cou avant de me rassasier tranquillement.

« Ca me répugne toujours autant de te voir faire ça…
Il faut bien se nourrir, non… ?
Je préférais le temps où tu mangeais des carottes et de la laitue… »

Lâchant mon garde-manger, j’informai alors les miens que je partais quelques instants. Habitués à mon caractère solitaire et surtout au fait que je n’aimais pas que l’on conteste mes décisions, personne n’objecta quoique ce soit et je m’éloignai tranquillement du campement, l’obscurité de la soirée tombant en même temps que la tempête de neige. La température basse ne me gênait pas autant qu’un être humain ou une créature à sang chaud puisque mon corps était aussi froid que celui d’un mort mais je n’étais pas non plus totalement à l’aise. Me drapant dans un tissu sombre, le vent me griffait le visage, mes cheveux me fouettant alors les joues sous ses assauts acérés. La douleur ne me gênait pas, au contraire… Et celle-ci était particulièrement savoureuse. Ce sentiment d’impuissance… Je ne le ressentais que face à la nature.

J’avais fermé les yeux, profitant d’un silence parfait… Quand soudain, une odeur de fumée attira mon attention et j’ouvris lentement mes paupières, mes yeux carmins se tournant dans la direction de la senteur. Il fallait croire que nous n’étions pas seuls…
Me dirigeant nonchalamment vers la destination, les vagues de flocons m’empêchaient de voir bien loin mais je ne tardai pas à apercevoir la forme d’une tente sommairement montée. Quelqu’un s’était établi ici et il y avait peu de temps de cela… M’avançant jusqu’à ce que je ne fus plus qu’à quelques mètres du tissu, je posai distraitement une main sur ma hanche tandis que mon regard s’enfonça à par l’ouverture, une mince fumée noire repoussant légèrement le cuir qui servait d’ouverture. Là, mon sombre sourire s’agrandit légèrement

« Ca alors ! Qui l’eut cru !
C’est la première fois que j’en vois un...
Ils sont aussi grands qu’on le décrit. "

En plus d’un siècle et demi d’existence, j’avais eu le temps d’emmagasiner beaucoup de connaissances… Mais ce que j’avais sous les yeux n’était pas à la portée de tous. Non, il s’agissait d’un savoir ancien conservé dans des livres rares que peu de personnes pouvaient se procurer… Qu’il était bon d’être fomoire, dans ces cas-là.

Ca alors… Lâchais-je d’un ton doucereux à l’attention de la créature placée à l’abri de sa tente. Moi qui pensais que vous aviez tous été exterminés par le temps…

« Ce n’est pas très gentil comme façon de saluer, Vil… »

… Voilà que j’ai un représentant de la très ancienne race des dworns devant moi.

Ces ours immenses dotés d’intelligence, j’avais vu beaucoup d’esquisses sur les grimoires anciens. Mais en avoir un devant moi, c’était nettement plus intéressant…





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