Nom : Dal Ventis
Prénom : Nicholson
Âge : Un bon siècle
Sexe : Masculin
Race : Vampire ; Haut Vicaire
Groupe : Hostile
Croyances : Je ne crois qu'en ce que je voie.
Description physique : Je suis un jeune homme aux traits fins, mon visage est long et dure, reflétant la dureté de mon passé, mes yeux ont une teinte rouge, comme toux ceux de ma races. Ma mâchoire est assez large montrant ainsi que mon apparence physique, et en particulier ma musculature était loin d'être négligé chez moi. Mon trapèze possède une belle forme de V élargis descendant sur mes larges épaules. Mes épaules mènent à mes bras qui sont magnifiquement dessinés par mes biceps et mes triceps. Mes avants bras sont rouge comme le feu, vous comprendrez pourquoi dans mon histoire. Mon torse et mon dos musclé sont recouverts d'une légère armure magnifiquement forgé. Mes jambes sont elles recouvertes d'un pantalon de cuir lui même recouvert par une armure, mes genouillères représentent des cranes humains, afin de montrer que je ne suis désormais pu quelqu'un de pacifique. Mon corps est recouvert d'une veste en cuir s'arrêtant à ma taille équipé d'une capuche me permettant de dissimuler mon visage aux yeux des autres si je le souhaite.

J'ai de longs cheveux blanc, autrefois je les avais cours et châtains mais mes cheveux perdirent de leurs couleurs en même temps que je comprenais que j'avais perdu mon humanité. J'ai un regard glacial intimidant généralement mon entourage, je suis assez imposant et mon physique montre bien que je suis quelqu'un de redoutable d'autant plus lorsque que je suis énervé, quand le sang me monte à la tête et que je m'emporte, mes deviennent réellement très apparentes, sans doute est-ce du à ma musculature, ou bien à mon sang chaud. Les veines de mes avants bras brûler prennent une teinte bleu clair, c'est curieux certes mais c'est ainsi. La veine de l'énervement ressort particulièrement sur mon front, heureusement lorsque que je suis calme on ne distingue aucune de ces horreurs et de toute façon, ma longue chevelure argenté camoufle ce même front.

Description mentale : J'ai autre fois été un bienfaiteur, quelqu'un qui souriait à longueur de journée, qui aurait tous fais pour remonter le moral de n'importe qui, mais certains éléments de ma vie ont petit à petit fais de moi quelqu'un de moins affectueux et de plus hostile, jusqu'à un changement radical de personnalité, je ne suis pu quelqu'un qui s'attache aux autres, malgré les principes que je me suis imposé, je ne suis clairement pu un humain, je ne pourrais pu vivre entre eux, dans une lâche ou les lâches dominent ? Non je ne le pourrais pu, je suis quelqu'un qui haï au plus haut point les humains qui ont du pouvoir, mais mais haine ne ce dirige pas que vers eux, je haïs aussi au plus haut point les lycans et les démons qui eurent, ces trois races ont participé à mon changement de personnalité. Je suis quelqu'un de très intelligent, enfin en matière de déduction bien sur, j'ai le cerveau très vif et je suis très débrouillard donc dans les situations les plus désastreuses je ne perds jamais mon sang froid et finit généralement par trouver plusieurs initiatives qui s'offrent à moi, et généralement je choisis la bonne.

Je me suis toujours servit de mon courage et de mon intelligence lors de mes combats, c'est ce qui me différenciait de mes adversaires en arène qui eux ce servaient de la force brute. Cette même force n'était pour moi qu'un facteur que je devais prendre en compte lorsque j'établissais des stratégies. Je suis aussi quelqu'un de très maniaque, autant pour ce qui ce trouve autour de moi, que sur moi, je suis très soigneux de ma personne mais aussi de mon environnement. Le seul domaine dans lequel je saurais être assez gore, serait le meurtre envers une personne que je haïs. Je sais être sociable bien que très froid j'aime plaisanter, mais mon humour à froid ne plait qu'à très peut de personnes, certaines prennent ça pour de l’insolence, d'autres pour de l'insociabilité. Je mets désormais beaucoup de temps à m'attacher aux personnes, sans doute la peur de les perdre comme j'ai perdu mes proches. Je suis aussi quelqu'un de très sanguin, je sais garder mon câble mais ne supporte pas être rabaissé, cela me pousserait à blesser n'importe qui si un jour cela va trop loin, pour moi la politesse et le respect des convenances sont deux choses fondamentales.

Capacités : Nikolson est plus rapide puissant et agile qu'un Vampire normal, il possède une agilité sans équivalent parmi les hauts vicaire du palais, il possède un dont assez spécial, ses avants bras brûlés redeviennent chaud lors de son énervement et au contact humain peuvent brûler légèrement, un peut comme quand on met la main sous une douche bouillante, il faut un contact à longue duré pour pouvoir brûler à vif ce qui est donc presque impossible.
Équipement : Je suis équipé d'une épée que je possède depuis que j'ai commencé à combattre en arène, ainsi qu'une arbalète qui m'avait été offerte à l'issue d'un de mes nombreux combats, je possède une armure que j'ai volé lors de ma fuite. Les détails dans les descriptions physiques, mais pour vous faire un aperçu voilà : arbalète : http://www.couteaux-center.com/boutique/images_produits/915-z.jpg
Épée : http://www.histophile.com/articles/E141/E141-Epee-du-sorcier-de-l-ombre-614x800.jpg
Armure : https://2img.net/r/hpimg4/pics/897143309large.jpg

Je me prénomme Nicholson, je viens des royaumes humains, mon histoire ? Elle n'est pas des plus heureuse...
.:: Chapitre 1 : vie de famille ::.

Je suis née dans un royaume gouverné par les humais, je ne suis pas le fils d'une famille aisée bien au contraire, je suis le fils ainé d'une famille nombreuse ayant quatre frères et une soeur (la cadette), notre seul revenu pour vivre et l'argent que notre père récolte en léchant les fesses du seigneur qui règne sur notre domaine. J'ai grandi sans aucun modèle, mon entourage était remplis de laches, soumis aux hauts gradés bons qu'à tous faire pour rentrer dans les bonnes grâces du seigneur. Je ne m'étais jamais entendu avec ce père encore plus féminin que ma propre mère, étant petit je n'hésitais pas à le lui faire comprendre, et les raclées qu'il me mettait étaient de plus en plus violente, en grandissant je le voyais faire de même avec mes frères et soeurs, mais la peur qu'il m'avait transmise m'empêchait de réagir, malgré mon absence d'affection envers cet homme, je commençais à devenir comme lui...
Mais un jour le courage avait pris le dessus, lorsqu'il allait lever la main sur la soeur cadette de la famille, je l'interrompais, attrapant sa main en pleine action. J'étais alors âgé de 23 ans et c'était la seule fois dans cette misérable vie que j'avais eu jusque-là o j'avais faits preuve de courage, le débat entre lui et moi restai purement verbale, il était un beau parleur, mais j'avais moi aussi des talents à ce niveau-là. "Tu te crois fort auprès de nous mais tu passes tes journées à faire le toutou devant un seigneur qui nous remercie presque pas, tu es un chien et tu ne feras pas de nous ta propre meute, c'est fini tu es libre de changer, mais tu es aussi libre de partir." Ce trouillard, il ne me répondait pas, il se contenta de retrousser chemin et de partir de la maison, il nous avait abandonnés. Ma mère était en larmes derrière la porte, elle avait entendu toute la discussion, je la serrais dans mes bras lui confia ma petite soeur avant de moi aussi sortir de cette maison. Une fois dehors, je cherchais un moyen de gagner de l'argent pour ma famille et je tombais sur une affiche...

L'affiche était accrochée à l'arène, oui ils cherchaient des combattants afin de divertir en risquant sa vie, j'allais donc risquer ma vie afin de permettre à ma famille de continuer aisément la sienne, ça me faisait rigoler, enfin bon je n'avais pas trop le choix. Je rentrais chez moi, et pendant 6 mois je subissais un entrainement intensif, j'étais obligé d'aller chasser afin de nourrir ma famille et de m'entrainer afin de pouvoir combattre en arène, les 6 mois les plus durs de mon existence, j'avais toujours été quelqu'un qui aimait prendre soin de son corps, de sa masse musculaire, et avec cet entrainement elle c'était réellement développé, mes biceps, triceps pec, trapèze, ils avaient facilement doublé de volume, la vie était dure, et mon corps se renforçait afin de pouvoir l'affronter. Je m'inscrivais donc à l'arène après ces 6 longs mois de dur labeur, et cet entrainement avait finit par payer. Je rentrais dans l'arène, muni d'une armure remplit de faille, seuls les avants bras, la tête, et les jambes étaient protégées, je n'avais qu'une épée, face à moi, l'homme était muni d'une armure intégrale, d'une épée et d'un bouclier. Je comprenais, j'étais envoyé au suicide afin d'amuser le public, rien de plus qu'un quartier de boeuf.
J'avançais vers lui doucement avant de tourner autour en pas chassé, la foule criait son non, le combat commença. Il tenta de me porter un violent coup d'épée que j'esquivais assez simplement en me décalant avant d'enchainer avec un coup de pied porté dans l'abdomen de l'adversaire, l'armure le protégeait mais ça me permettait d'avoir plus de chance pour le déséquilibrer, j'avais donc besoin d'une meilleure vue, j'enlevais mon casque ce qui fit rire la foule, sans doute croyaient-ils que je me rendais déjà, ils se trompaient, à peine avais-je enlevé cette protection que je voyais une épée ce ruée sur moi, je me baissais afin de l'esquiver et enchaina d'un coup de pied dans ses jambes afin de le faire tomber. Ma technique marchait, il tombait au sol j'enlevais son épée de sa main d'un coup de pied avant de planter ma lame dans son abdomen, j'avais gagné, je levais les bras vers le ciel, et la foule m'applaudissait.


.::Chapitre 2, en quête d'argent::.

J'enchainais les victoires, je m'étais faits connaitre dans tout le royaume. J'étais souvent convié au château, mais jamais je ne m'y rendais, ma haine envers ces hommes-là ne c'était pas pour autant affaibli. Ma famille vivait dans la richesse désormais, mais malheureusement ce n'était pas le cas des autres villageois, je m'en voulais, ma famille vivait bien mais nous vivions toujours parmi eux, ils voyaient notre famille manger à sa guise et eux mourraient de faim, je m'étais donc juré que si je pouvais faire quelque chose afin de les aider je le ferais. Et coïncidence, un groupe de villageois tapait à ma porte, je leur ouvris, ils étaient armés de la tête aux pieds, que me voulaient-ils ? Je l'ignorais. "Nicholson, voilà, la pauvreté nous tue, nos enfants meurent de faims, nos ainés aussi, nous avons besoin d'argent, il y a une légende qui parle d'un trésor non loin d'ici mais il serait protégé par une créature, cela fait plusieurs siècles que personne ne s'y est rendus, mais la légende dit que personne n'en est ressorti vivant, mais aucun villageois n'a jamais été autant déterminé que nous le sommes et nous avons besoin de toi, tu as un talent, tu dois nous aider, nous t'en supplions."
Ils se mirent tous à genoux, je les regardais, je m'étais juré dès les aider autant que je le pouvais, je fis donc mes adieux à ma famille avant de partir à leurs côtés. Une journée entière à dos de cheval avant d'arriver devant la grotte dont ils m'avaient parlé, nous laissâmes nos destriers devant la porte de la grotte sauf un. Nous nous enfoncions dans la noirceur, seules nos torches pour nous éclairer, avant d'arriver dans un lieu réellement éclaire, le lieu scintillait, il était remplis d'or. "Bien on remplit nos sacs ont les accroches au cheval et on part le plus vite possible, aller on ne perd pas de temps.", et nous accomplissions cette besogne à une vitesse effroyable puis nous reprirent le chemin vers la surface. Il n'y avait donc pas de créature . Étrange, mais ce n'était pas pour me déplaire, mais encore une fois j'avais parlé trop vite… Plus nous remontions à la surface, plus nous entendions nos chevaux gémir, et une fois arrivé à la lumière, le terrain était en feu, les chevaux calcinés, et devant nous, un monstre à la peau grise, couvert d'une longue cape, capuche sur la tête, à peine les villageois sortaient afin de le combattre qu'il les brûlait à l'aide de boules de feu, je profitais de cela afin de me cacher derrière un rocher, je dégainais mon épée et pris mon bouclier, je l'entendais, il me parlait. "Je sais que tu es ici, montres-toi, mon petit aller montre moi ton courage." Me disait-il en fredonnant, c'était un vrai démon, mais oui, j'étais connu pour mon courage et je me devais de réagir, aussi je sortais de ma cachette et mon montrais face à lui. Il me cracha des flammes de sa bouche, je me protégeais avec mon bouclier, mais la puissance était tel qu'il fonda, et dès qu'il disparut je lançais mon sabre à travers les flammes qui viennent se planter dans la tête du démon. L'armure qui protégeait mes avants bras avait fondu, et eux étaient brûlés à vif, je pouvais encore m'en servir mais la douleur était insupportable. Moi et le cheval qui avait l'or était les seuls survivants, je le sifflais, il vient à moi et je montais dessus en direction du village.

.:: Chapitre 3 : La transformation ::.

Je rentrais au village, la douleur me poussait à m'évanouir, mais le courage qui m'avait permi de vaincre la créature me maintenant éveillé et pourtant j'aurais préféré qu'il en soit autrement... J'arrivais au village, il n'y avait pas un bruit, personne n'était dehors, je descendais donc de ma monture avant de courir voir ce qui se passait, les maisons étaient détruites par endroits, que s'tait-il passé... Je courrais dans ma maison, tout était détruit, je rentrais dans la chambre de ma mère, et j'y trouvais ma famille, tous égorgé, les murs étaient repeints de sang, je serrais le cadavre de ma petite soeur contre moi, oui c'était des larmes qui coulaient, des larmes de tristesse et de haine, que s'était-il passé, et pourquoi ?! Je me relevais, bien déterminé à tirer ça aux claires, mais derrière moi se trouvais quelqu'un, enfin quelque chose... Une cape, un capuchon, qui était-ce ? "Qui êtes-vous ?" "Je suis ce que je suis, et toi qui veux-tu être, tu veux pouvoir te venger ? Surmonter toutes les douleurs .
Souhaites-tu devenir un fils de la nuit ." Et sans réfléchir, j'acceptais, j'étais au bord du désespoir et on m'offrait une chance, la créature rigola puis disparaissa, Je m'évanouissais, sans doute le mélange entre la douleur et la faim avait pris le dessus, je ne reprenais connaissance que durant le coucher de soleil du lendemain, laissant l'ombre du château ce refletter sur le village. Je ne sentais plus la douleur de mes bras, mais ils avaient gardé cette teinte rouge sang. Je ne comprenais pas ce qui s'tait passé, mais il me restait quelque chose à accomplir. Je montais au château, ils me laissèrent entrer étant quelqu'un de connu grâce à mes combats, je montais donc jusque-là chambre du seigneur, je mis fin au jour des deux gardes qui protégeaient la porte de deux coups d'épée dans le front avant d'entrer dans la chambre. Le seigneur, ce gros porc était en train de coucher avec un des poufs du royaume, je la poussais d'un violent coup de coude avant de saisir le maître des lieux et de le coller contre la fenêtre. "Tu as et tu traverses la fenêtre, réponds-moi calmement, que s'est-il passé au village .!" Le noble begueyait comme une chèvre, "Les les Lycancans ont at attaqué qués." "Les lycans ?! C'est quoi ça .!" "Ils sont mis homme mis loulou". Je le serrais encore plus fort "Et pourquoi n'êtes-vous pas intervenu ?!"
Il ne répondait pas, "regardes mes avants bras, tu voies, ils sont beaux de cette couleur hein . Ils sont rouges car ils ont été brûlé à vif, et tu sais pourquoi .! Parce que moi et les hommes du village somme alléaller chercher un trésor afin que leurs familles puissent vivre, et toi tu les as laissés mourir, ils ont perdu leur vie pour rien, j'ai tué un démon il y a peut, mais tu ne vaux pas mieux que lui" et la bizarrement quelque chose me poussa à le mordre, je lui arrachais la chair de mes dents qui semblait être désormais plus aiguës qu'avant, je me délectais de son sang, et c'était le meilleur des breuvages que je n'avais jamais bus. Je poussai sa carcasse vide par la fenêtre, et le laissant s'écraser tout en bas, je descendais par cette même fenêtre en faisant preuve d'une habileté que je ne me connaissais pas. Une fois en bas, je me léchais les dents avec ma langue, puis crachai le sang qui me restait dans la bouche sur le cadavre écrasé contre le sol.

.:: Chapitre 4 : Une nouvelle vie ::.

Les jours passèrent, puis les années et enfin le siècle, je ne vieillissais put pas, je ne supportais put le soleil, seul le sang me nourrissait, c'était anormal, mais je comprenais ce que j'étais devenu, puis je l'acceptais, ce dont on m'avait fait cadeau, je m'en servais afin de faire payer toutes les pourritures de ce monde. Les seules personnes dont je suçais le sang étaient bien souvent des assassins ou des raclures de la pire espèce, la légende de Nicholson aux bras ardents ne mit pas longtemps à faire le tour des continents, ce surnom, on me l'avait donné à cause de la couleur de mes avants bras, jamais ils n'avaient retrouvé une teinte normale, et ma couleur de peau avait viré au blanc, mes cheveux eux avaient blanchis, ils avaient perdu leurs vivacités, oui, mon organisme était mort, et si j'étais rentré plutôt au village, je l'aurais été aussi...
Je savais que j'étais traqué, depuis plus d'un siècle je me doutais que des personnes me poursuivaient, j'ignorais s'il s'agissait d'humains, de démons ou bien de créature comme moi, peut-être même s'agissait-il d'autres créatures, tout ce que je savais, c'est que je ne pouvais pas me permettre de rester plus d'une heure au même endroit, sans ça on me retrouverait, me nourrir sans me faire voir était de plus en plus dure, j'étais devenu une terreur, ils me faisaient passer pour un monstre alors que je les débarrassais des vrais monstres, comment pouvaient-ils être aussi peut reconnaissant et stupide, les seules personnes non criminelles dont je me permettais des boir le sang étaient les personnes sur le point de mourir, en échange je leur promettais de partir sans trop de souffrances, c'était un cadeau que je leur faisais, mais ça il n'y avait qu'eux et moi le savaient. Le sang, on aurait dit une drogue, on en veut toujours plus, mais je réussissais pourtant à résister à mes pulsions meurtrières, je ne me délectais que rarement, deux fois par semaine. J'avais vu ce à quoi je ressemblais désormais en faisant refletter mon image dans l'eau. Ma peau était blanche, mes yeux rouges, mes cheveux longs et blanc, oui, j'avais toujours ma belle gueule, et mes muscles, mais chacun portait en eux de douloureux souvenir, mes canines et mes avants bras étaient là pour me le rappeler. Mais ma vie bascula encore une fois, j'étais dans une grotte, le jour se levait je devais me cacher, j'allais changer de cachettes dans l'heure qui suivait, mais il semblerait que mes calculs étaient faux, on m'avait retrouvé...

Quelqu'un rentrait dans cette crevasse de pierre, j'étais au bout de celle-ci, je savais que l'on venait pour me tuer, mais je ne prenais pas de suite les armes, j'étais avachis sur une pierre les jambes en avant écarté, la personne avançait vers moi, plus elle approchait plus j'apercevais sa silhouette féminine, c'était donc une femme, oui c'était une grande femme, des cheveux longs et bruns, un corps maigre et de jolies formes, des yeux rouges sang semblable aux miens, des jolis traits de visage, je devinais qu'il s'agissait d'une personne de la même espèce que moi, étant donnée la réputation que je me trimballais elle ne devait pas être faible pour avoir été envoyé seule mettre fin à mes jours, ou peut-être était-ce une éclaireuse, non elle n'en avait pas l'air, elle me fixait de ses yeux malfaiteurs, je sentais l'excitation rentrer en moi, la même que lorsque je combattais dans l'arène, sauf que désormais j'avais compris que je ne trouverais pas de proches en combattant, la combat m'a mené jusqu'à cette vie de fuite, et je doutais qu'il m'aide à en ressortir.

"Bonjour mademoiselle, pouvez-vous m'expliquer pourquoi cette partie de chasse ? Car j'ai la curieuse impression d'être le gibier malgré nos similitudes." Elle me regarda amusée, "C'est plutôt toi qui sembles être en chasse depuis pas mal de temps." Ainsi donc je n'étais pas le seul de ma race à connaitre l'humour . "Une partie de chasse ? Une chasse aux malfaiteurs je l'avoue je ne supporte pas les assassins et quand c'est à leur et de mourir je pense que justice est faite." Elle me regardait surprise, on aurait dit qu'elle s'attendait à voir une bête sauvage, non, je ne suis pas un monstre, j'ai simplement un dont à exploiter. "Hum... Cela te plairait de changer de vie ." Changer de vie . Je la regardais dans les yeux, qu'allait-elle me proposer ? . "Viens avec moi, à Serkheim c'est là que nous vivons." Je la regardais, j'étais fasciné, "Par nous vous entendez, les immortels, les enfants de lui nuisent ." Elle me le confirma d'un signe de tête. Je ne savais pas, cela faisait maintenant plus d'un siècle que je vivais seul, peut-être était-il temps d'accepter ma nouvelle vie et de vivre parmi eux, je pris mon épée qui était par terre. "Pourrais-je me venger des Lycans ?" Elle souria et partit vers la sortie, je rigolais sans trop faire de bruit et la suivait, c'était le début d'une nouvelle vie, peut-être était-ce la bonne

.:: Chapitre 5 : La vengeance ::.

Nous étions en route vers le royaume de nos semblables, j'étais réellement pressé de voir à quoi cela pouvait ressembler même si je ne le montrais pas. De toute façon plus rien ne pouvait me décevoir, j'avais déjà tout perdu une fois, je ne pouvais que gagner désormais, je ne mettais même put de prix sur ma vie, je la considérais comme n'ayant aucune valeur, alors je n'avais réellement rien à perdre à suivre cette femme. Peut-être était-ce un piège ? Mais peut-être pas, et même si c'en était un, peut-être qui quitter ce monde allait-être une délivrance ? Peut-être était-ce ça me réelle récompense, pouvoir m'en aller de ce monde afin d'arriver dans un monde dans lequel je pourrais enfin avoir une vie heureuse ? Je me questionnais réellement sur le chemin, nous étions à pied, sans doute pour ne pas faire de bruit. Notre race avait-elle des ennemis ? Oui comme n'importe quelle autre espèce, les humains se détruisent même entre eux alors c'est pour dire à quel point les ennemis sont des coutumes chez nous.

Durant ce dernier siècle, j'avais appris à être traqué et à chasser, et là, on était traqué. Je ne savais pas si la belle brune devant l'avait remarqué, on continuait de marcher comme-ci de rien était . Pourquoi ? Je n'en savais rien mais elle ne pouvait pas ne pas avoir senti cette présence, entendre les branches qui craquaient sous les pieds de la créature était chose aisée, il n'y avait aucun doute elle savait qu'on était suivi. Et plus nous marchions, plus nous semblions nous engouffrer dans la noirceur de cette forêt ténébreuse. Nous étions des cibles faciles ici, alors pourquoi s'y rendre ? N'y avait-il d'autres chemins ? Quelque chose clochait, mais je préférais ne pas manifester mes faibles doutes et continuer mon chemin en restant sur mes gardes, je posais toute de même ma main sur le fourreau de mon épée, je devais être prêt à égorger ces ignobles créatures si elles surgissaient de l'ombre, car qui qu'elles soient elles nous chassaient j'en étais sûr désormais. Sans doute étudiaient-ils notre comportement, et la façon de réagir en fonction de comment ils nous agresseraient, et sans aucun doute ils considéraient cette traque comme un jeu.
C'était ce qui me différenciait des espèces primitives, jamais je n'avais considéré la chasse comme un jeu, mais davantage comme un devoir, sucer le sang des criminels, je ne voyais en aucun cas un mal à cela, ces personnes étaient des monstres bien plus horribles que je ne l'étais, comme on dit, oeil pour oeil dent pour dent. Ils tuaient des personnes, moi je les tuais, c'était aussi simple que cela. Enfin non... J'avais beau essayer de me convaincre l'amusement de traquer une cible avait toujours été présent, mais je savais rester humble et contrôler mes pulsions, jamais je n'avais cédé à des pulsions devant un humain qui jouissait de sa vie et qui n'avait jamais tué personne, jamais je ne m'étais permis de sucer un sang pur, et je m'étais promis de ne jamais le faire.

La réalité ne perdit pas de temps à me rappeler et à m'extirper de mes pensées, mes soupçons étaient fondés, on nous traquait, et les bêtes finirent par se ruer sur nous, il y avait 5 Lycans, cette sale race de cabots que je m'étais promis d'éradiquer. Je tremblais, je n'avais pas peur non... J'étais excité à l'idée d'enfin pouvoir tuer un de ces cleps, un d'entre eux me plongea dessus, m'étant préparé à cette attaque je pus dégainer rapidement mon épée et trancha la gueule du chien, et sans perdre de temps j'attrapais mon arbalète et fis siffler une flèche jusque dans le toraxe d'un des loups qui se trouvaient devant moi. "Aller venez, je vous attends sales chs...est !" Et à ces mots je courrais sur celui qui se trouvait non loin de ma compatriote afin de lui planter mon épée dans le dos, et d'un geste agile je retournais mon sabre afin de pointer la lame vers mon dos et donnais un coup d'épée simple, et l'épée toucha, c'était logique j'étais dos à un lycan il allait me sauter dessus ça me paraissait évident. Il n'en restait donc plus que un et il semblait être parti . Je crachais sur le sol afin de manifester ma tristesse, oui j'étais triste de ne pas avoir pu éliminer le cinquième Lycan. Mais un d'entre eux n'était pas tout à fait mort, j'avançais vers lui tout en armant l'arbalète, la pointa sur son oeil qui me fixait, "adieu" et tous devint noir pour Lycan. J'aurais aimé pouvoir pourchasser celui qui c'était enfouis, mais ça aurait voulu dire que j'allais quitter la route et la deuxième fille de la nuit, je ne pouvais me le permettre. Sans doute ces loups étaient-ils maux entrainés ou venaient-ils d'avoir leurs dons ? Je ne savais pas comment la transformation se passait chez eux ni même s'ils naissaient avec ses pouvoirs, en tout cas, désormais je savais pourquoi Viladra ne c'était pas arrêté, j'avais fini par comprendre. Cela me faisait rire et sur le chemin je lui fis comprendre. "La prochaine fois que vous voulez me tester, n'hésitez pas m'emmener dans le royaume Lycan, de toute façon je les exterminerais tous peut-être importe qu'ils ce cachent ou autres, je les trouverais." Lui dis-je aimablement, elle semblait sourire, sans doute l'avais-je fais rire... Ainsi se poursuivait notre route jusque Serkheim.

Nom : Nico
Âge : Je vais sur mes 17.
Trucs préférés : Vous seriez choqué.
Un film : La aussi vous seriez choqué...
Un jeu vidéo : De même ...
Un livre : De pire en pire ...
Comment tu es tombé ici : Le charme de Viladra...
Avis sur le forum : Vous aimeriez savoir hein ?
Quelque chose d'inutile à dire : Viande.